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Iruya, au creux des montagnes

Iruya, au creux des montagnes

À vol d’oiseau, Iruya est à peine à 100km de la frontière avec la Bolivie. Je n’irais pas plus haut.
Déjà les transports sont beaucoup plus limité pour ce village, pas vraiment de route, plutôt un chemin. C’est tout ce que j’aime, le …rien. Un village au creux des montagne, simple, calme, presque intouché.
Pareil au reste de la région, les treks sont à vos pieds, il suffit de suivre un des chemins.
Le bus nous laisse ici, à nous de faire le reste à pieds, pas bien loin, mais la montée est rude.

Déjà situé à 2780m d’altitude, vous imaginez bien que ces ruelles (avec le sacs) étaient pur plaisir…

Et comme à Darjeeling, et toute les villes et village de ce genre, plus tu montes, moins c’est cher (guesthouse)

Alors, je suis monté tout en haut, de toutes façons en bas tout était complet

J’ai pu trouver un petit coin de paradis, avec cuisine, à moindre prix. Enfin, j’ai dû largement le payer en sueur.

Vous allez me dire : « Rien de spécial », peut-être, mais j’ai adoré

En suivant le nid de la rivière pendant plus d’une heure…

…en plus de découvrir et profiter de superbes paysages…

…vous pouvez atteindre un encore plus petit village. Je n’y suis resté que quelques heures, mais la marche valait largement le coup.

Trois jours ont déjà passé, comme un éclair. Je redescend mes sacs, retourne sur le chemin pour attendre le bus.

Iruya est un village où le temps s’est arrêté, pour notre plus grand bonheur.
Non, je n’ai pas d’anecdote, ou d’histoire à vous raconter. Parfois les choses les plus simples, se doit d’être vécues.

2 réflexions sur « Iruya, au creux des montagnes »

  1. tout a fait d’accord….des fois tu te demandes de quoi vivent les gens, mais ca doit etre tellement paisible que ca doit faire vraiment du bien

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