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L’île de Chiloé

L’île de Chiloé

Passons les détails pour joindre cette charmante île, mais sachez juste que c’était long !
Une fois arrivé sur Castro, capitale de la province, je pose mes sacs dans un charmant petit hôtel, qui pour le prix d’un dortoir m’offre une petite chambre avec vue sur le port :

L’île est connue pour son architecture de maisons colorées (parfois sur pilotis) et églises en bois, on a l’impression d’être sorti du continent sud-américain, où ? Je ne sais pas, jugez vous même :

Ici l’arbre national du Chili, l’Araucaria du Chili, aussi appelé (et ne me demandez pas pourquoi !) le Désespoir des Singes…

En plus de sa rareté, on ne le trouve qu’au Sud du Chili et au Sud-Ouest de l’argentine, il est connu pour résister aux incendies.

Allez, un petit tour dans la ville …de bois :

Sans oublier la majestueuse église …jaune

Et intérieur :

L’ambiance est vraiment spéciale, très calme, très nature, à la tombée de la nuit des centaines de hippies montent leurs tentes illégalement sur les parcs de la ville, pour les faire vite disparaitre aux premiers rayons de soleil, tout le monde le sait, même la police, mais ici c’est zone franche, on laisse faire et ça ne marche pas plus mal.
Bien que Castro soit un concentré de Chiloé, je désire me faire une opinion un peu plus large, allons découvrir d’autres villages, et donc …d’autres églises.
Pour se faire, je prends un bus qui précise bien que seuls les étudiants voulant étudier ont le droit d’être passager à moindre prix, et ben, moi qui pensais que la carte étudiant suffisait…

Marteau « traditionnel » vissé dans la carrosserie, en cas d’accident, c’est toujours pratique.

Voici Achao, et son église (et devinez en quoi elle est ?) :

Ces « tuiles » de bois font étrangement penser aux écailles d’un poisson

Différentes architectures, mais toujours de bois :

Les mollusques séchés du marché local

Quelques kilomètre nous sépare de Chonchi, et à nouveau des bâtisses colorées :

Pour la dernière journée à Castro, je me lève tôt afin de pouvoir observer sur le port, les maisons colorées qui font la réputation de Chiloé :

Dernière nuit sur Chiloé, et vraiment aucun regrets d’y avoir consacré quelques jours. Une bulle unique de l’Amérique du Sud, un coin qui ne suit pas le court du temps, figé sans doute, par ses traditions et son bien être. Car après tout, si on est bien, pourquoi changer ?

 

9 réflexions sur « L’île de Chiloé »

  1. salut, javoue que cest vraiment tradition et cest bien, ca doit etre un sacre entretien tout ce bois tout de meme
    ca a lair tres reposant en tout cas

  2. Je découvre cet endroit, ça donne envie d’aller se poser la bas quelques temps
    l’arbre s’appelle le désespoir des singes car il produits des fruits que les singes raffolent mais ils ne peuvent pas monter dans l’arbre a cause de ses piquants =)

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