Plus d’ordinateur…
Après Medellín, et avant de quitter le pays passons quelques jours à Cali, capitale de la Salsa.
Après Medellín, et avant de quitter le pays passons quelques jours à Cali, capitale de la Salsa.
Alors oui, c’est ici que tout commença (et que tout fini…) pour Pablo.
Pour atteindre Palomino je dois passer par Santa Marta, puis prendre un autre bus qui me laisse sur une avenue avec trois maisons, deux kiosques, et une ribambelle de moto-taxis :
Ça faisait un moment que je souhaitais visiter Carthagène, alors c’est ici que l’avion de San Andrès va me laisser,
Quand vous êtes à Leticia, pas 36 solutions pour en sortir, aucune route n’atteint la ville donc vos choix se limitent au bateau, mais ça vous savez, ou l’avion.
La frontière Tabatinga/Leticia ressemble à une frontière entre l’Inde et le Népal, tout le monde passe, ça va, ça vient sans aucun contrôle, alors oui la police est bien là, mais elle ne sert pas à grand chose…
Il est tôt, très tôt, je me retrouve dans une camionnette, sans fenêtre avec 6 autres étrangers, mais nous n’allons pas dans la même direction.
Il faut que je quitte la Colombie (en espérant pouvoir y revenir plus tard) pour visiter l’Équateur
Voilà nous sommes mardi, je me précipite donc de beau matin vers la station de bus, direction Silvia.
Ça faisait un bout de temps maintenant que je n’avais plus touché la « civilisation », c’est une exagération bien sûr, mais passer de Tierradentro à Popayan, c’est un peu l’effet ressenti.
Même si sur la carte le désert de la Tatacoa et Tierradentro ne sont pas si éloignés, dans les faits, c’est plus compliqué…
Une fois le sac à dos prêt, je pars plus au Sud du pays pour essayer d’atteindre le désert de la Tatacoa.
À moins de 50Km de Bogota se trouve le petit village de Zipaquirá, même si il est charmant et agréable à visiter