Retour à la vie nomade
Voilà maintenant 6 mois que nous sommes en camp, soit déjà un an sur le sol canadien, ce qui signifie que le visa de travail est terminé…
Voilà maintenant 6 mois que nous sommes en camp, soit déjà un an sur le sol canadien, ce qui signifie que le visa de travail est terminé…
Vous ayant écrit dans un article précédent que j’étais passé aux cuisines, vous devez vous dire « Mais Sandro, tu nous avais jamais dit que tu étais cuisto ? »
À l’école l’anglais n’a jamais été un points forts, si mes souvenirs sont bons, ma note au BAC devait tourner autour des 6/20.
Alors travailler en camp, c’est quoi exactement ?
L’hiver 2011/2012 n’est pas si rude que prévu, pour moi c’est terriblement froid, mais pour les habitants d’Alberta « l’hiver est doux »…
Quelques jours après moi, Hihi aussi avait trouvé du boulot, elle aide en cuisine, dans ce que l’on appelle un « camp »
Le matin on commence à 7h00, quand je travaille avec Marc, on prend qu’une voiture
Cela fait maintenant près de deux mois que je travaille dans la coupe de béton. Un métier dont j’ignorais l’existence avant d’y mettre les pieds…
En dix points :
Nous voilà à Edmonton, il est tôt, et nous sommes un peu désappointés, le bus nous a laissé pratiquement sur l’autoroute…
Après une saison de cerises intense, en mouvement presque perpétuel, avec un fruit qui demande énormément
Hihi m’a maintenant rejoint, et la cueillette des pommes a bien avancé (plus de détails dans le prochain article)
La saison des cerises est terminée, une grande partie de l’équipe quitte les lieux, sauf douze, douze personnes qui resterons sur place pour les pommes.